entretien
  • « La participation est un processus d'émancipation, c’est peut-être aussi une réparation après les 50 ans de production quantitative de logements d'après-guerre. »

  • Entretien avec Bernard Blanc

  • Fanny Léglise

Bernard Blanc est docteur en sciences de gestion et en urbanisme. De 2008 à 2019, il a été le Directeur général d’Aquitanis, l’office public d’habitat de la métropole bordelaise. Entre 2020 et 2022, il fut adjoint à l'urbanisme résilient de la ville de Bordeaux. Ses travaux théoriques comme sa pratique s’ancrent dans une vision de l’urbanisme marquée par la notion de paysage qui replace les habitants au cœur de la ville, défendant une approche collaborative du logement et de l'aménagement urbain. Pour la revue d’arc en rêve, il revient sur la politique de participation qu’il a développée dans l’habitat social sur le territoire métropolitain. Cet entretien relie deux expositions : Nouvelles saisons, où Bernard Blanc s’appuie sur de nombreuses opérations et architectes présentés dans la grande galerie et Habiter ensemble, consacrée au logement collectif européen, dans la galerie blanche, qui ouvrira le 27 novembre 2025.

Fanny Léglise. Pendant plus de dix ans, vous avez joué un rôle majeur dans le développement de projets participatifs au sein d’Aquitanis. Proposer aux locataires de prendre part à la conception de leurs habitations en développant des outils d’aide à l’appropriation est relativement inédit dans le contexte de la production du logement en France. Qu’est-ce qui aiguise cet appétit pour de telles pratiques, tant du point de vue du maître d’ouvrage que des habitants ou des concepteurs ? Pourquoi faire du participatif aujourd’hui ?

Bernard Blanc. En France, depuis la seconde reconstruction et la Charte d’Athènes, nous avons été placés dans une posture où nous n’avions pas notre mot à dire en tant qu’habitants. Une succession d’architectes, récipiendaires du Grand prix de Rome, dessinaient le logis exact en fonction d’un confort dit moderne. Jusqu’à entendre la phrase péremptoire de Marcel Lods1 qui disait qu’il fallait « apprendre aux gens à habiter, ils ne savent pas ». La participation est un processus d'émancipation par rapport à cette doctrine, c’est peut-être aussi une réparation.

Locus solus, éo toutes architectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019.
Locus solus, éo toutes architectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019. / © David Pradel

Le participatif invite l'architecte à embrasser son rôle sociétal. Il doit inventer de nouveaux outils et approches, produire de nouveaux instruments collaboratifs favorisant la participation des habitants. La maquette de grande taille, manipulable, déplaçable, démontable en est un parfait exemple. Pour mettre en œuvre le projet Locus Solus2, les architectes d’éo toutes architectures ont développé une grande maquette structurelle qui permettait aux futurs habitants d’insérer à l’intérieur celle de leur propre logement pour mieux comprendre les espaces privés et ceux qui étaient partagés. Côté maîtrise d’ouvrage, un monteur d’opération d’Aquitanis avait inventé un jeu pour faire participer les habitants. Dans Tout est paysage3, l’architecte belge Lucien Kroll expliquait que cette pratique permettait de complexifier le projet. Dans le catalogue4 de l’exposition de son travail avec Simone Kroll, il explique qu’ainsi, ils prenaient en compte les éléments étrangers apportés par les futurs usagers auxquels ils n’auraient jamais pensé.

Notre monde est devenu bien trop élémentaire, nous sommes obligés de le complexifier en demandant à l'occupant de nous expliquer comment il va vivre dans son logement.

Certains architectes comme Lacaton & Vassal5 rendent leurs projets plus complexes sur le plan de l’habiter et de la spatialité, tout en apportant une réponse économique.

Du côté de la maîtrise d’ouvrage, la participation oblige à revoir les algorithmes des bilans d’opération parce que l’organisation des coûts n’est pas habituelle. La complexité nous ramène à une notion perdue de vue dans la fabrication du logement collectif : la structure élémentaire. Elle permet d’optimiser les bilans et de gagner des surfaces supplémentaires à moindre coût. Ceci est valable à partir de certaines typologies, pour des T1 ou des T1 bis, il devient difficile de travailler avec la complexité, de faire des logements traversants par exemple. À partir de 60 m2 je peux offrir 10 m2 supplémentaires, ceux que Jacques Lucan, Odile Seyler et François Leclercq6 réclamaient pendant le confinement. L’économie de la structure forme le travail principal du maître d’ouvrage. En 2012, nous avons imaginé appliquer le participatif sur 20 % des 600 logements produits annuellement par Aquitanis en mettant en place des paliers qui permettraient des retours sur expérience. Ce fut un véritablement changement de métier pour le maître d’ouvrage.

FL. Que peut-on dire des projets participatifs aujourd’hui, en vous appuyant sur votre expérience ?

BB. Lorsque l’on initie des projets participatifs, 10 % des futurs habitants s’engagent, qu’ils soient locataires ou propriétaires – comme j’ai pu le remarquer lors d’opération menées avec Axanis, filiale d’accession à la propriété d’Aquitanis. Lors des ateliers de co-conception, nous nous rendons compte à quel point nous avons été endoctrinés avec les plans types ; nous avons du mal à imaginer autre chose que des typologies de promoteurs ou des partitions jour-nuit. Dans le cas de projets comme VIM7 et Bengaline8, avec l’Atelier Provisoire, nous avons traité le locatif comme s’il s’agissait d’accession. Nous livrions un plateau nu, avec la possibilité pour chacun d’en choisir la partition.

Maquette des éléments de partition du projet VIM. / Model of the partition elements of the VIM project.
Maquette des éléments de partition du projet VIM. / Model of the partition elements of the VIM project. / © Atelier provisoire
Insertion des éléments dans la maquette générale. / Integration of elements into the overall layout.
Insertion des éléments dans la maquette générale. / Integration of elements into the overall layout. / © Atelier provisoire

Il a fallu trois ateliers et l’intervention des enfants, pour sortir du schéma-type. Nous nous étions demandé avec les architectes : est-il possible d’imaginer un plan libre à aménager comme chacun le souhaiterait ? L’Atelier provisoire a conçu des lisses installées en plafond supportant des cloisons de bois répondant aux normes acoustiques, montées sur vérins, démontables. Les occupants, accompagnés par un menuisier pouvaient ainsi réaliser leurs aménagements sur mesure. Certains locataires avaient pensé une configuration en plan qui a été remaniée in situ. Ils savaient parfaitement à quoi aspirer en habitant le lieu.

L’habitant-architecte est celui qui est doté des outils qui lui permettent de vraiment faire, d’organiser son espace de vie.

VIM, 14 logements évolutifs, Atelier provisoire / Aquitanis, Bordeaux, 2017.
VIM, 14 logements évolutifs, Atelier provisoire / Aquitanis, Bordeaux, 2017. / © Agnès Clotis
VIM, 14 logements évolutifs, Atelier provisoire / Aquitanis, Bordeaux, 2017.
VIM, 14 logements évolutifs, Atelier provisoire / Aquitanis, Bordeaux, 2017. / © Agnès Clotis
VIM, 14 logements évolutifs, Atelier provisoire / Aquitanis, Bordeaux, 2017.
VIM, 14 logements évolutifs, Atelier provisoire / Aquitanis, Bordeaux, 2017. / © Agnès Clotis

Lorsque nous faisons participer les locataires à leurs futurs logements, ils pensent immédiatement à la suite. À VIM, ils nous disaient : « vous installez ça pour nous mais comment allez-vous faire quand nous ne serons plus là ? ». On sent une véritable attention à l’autre. À Locus Solus, nous avions dit qu’il fallait être le plus écologique possible. Les futurs habitants ont alors envisagé l’installation de toilettes sèches pour près de 50 logements. À la réunion suivante, ils ont pensé aux suivants et compris que ce qui avait du sens pour eux n’en aurait pas forcément par la suite. Ils ont ensuite imaginé des toilettes sèches réversibles, avant que cette hypothèse ne soit abandonnée. Du côté de l’accession, il me semble que le sujet de la revente et de la valeur de leur bien bride les futurs propriétaires dans le développement d’un logement qui leur soit totalement adapté. La propriété est un sujet crucial en France. Tout le monde a envie de posséder du patrimoine, une tendance fortement encouragée par l’État et les médias qui disaient : « Vous n’aurez pas de retraite, achetez, comme ça vous n’aurez pas à payer de loyer à la retraite ! ».

FL. Au fil des projets, vous avez testé un certain nombre de dispositifs qui permettent de créer des logements de qualité accompagnés d’espaces en commun.

BB. Le premier sujet, c’est de créer des espaces où les habitants se sentent suffisamment bien chez eux pour qu’ils aient ensuite la possibilité de s’ouvrir aux autres. La fabrique de l’habitat se fait, selon moi, en trois cercles concentriques. Le premier, pour un maître d’ouvrage, consiste à apporter une réponse à « être soi / chez soi » en se protégeant du regard des voisins, du bruit, etc. Le second cercle concerne l’ouverture aux autres. Comment fabriquer une envie de rencontrer l'autre ? Dans toutes les études sociologiques, ressort l’envie d’être aux autres dans les milieux urbains denses, mais dans un espace différencié du « chez soi ».

Tout le travail réside alors dans l’organisation spatiale des espaces, ceux réservés à la famille et ceux dévolus à la rencontre, sans obligation.

L’ouvrage Voisiner9 montre bien ce lien entre « proximité spatiale » et « distance sociale ». La façon de voisiner, c’est pour un maître d’ouvrage, un architecte, un paysagiste ou un urbaniste, le sujet de la fabrique de l’urbanité, à chaque échelle.

Locus solus, éo toutes archhitectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019.
Locus solus, éo toutes archhitectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019. / © éo toutes architectures
Locus solus, éo toutes archhitectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019.
Locus solus, éo toutes archhitectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019. / © éo toutes architectures
Locus solus, éo toutes archhitectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019.
Locus solus, éo toutes archhitectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019. / © éo toutes architectures

Pour proposer des logements de qualité, il faut développer des typologies traversantes qui amènent des qualités bio-climatiques. Ceci induit de régler les circulations horizontales par des coursives. Ces dernières concentrent des problématiques autour des regards, des limites ou des seuils. En Suisse et en Allemagne, on élargit les coursives pour pallier ces problèmes. Un certain nombre de dispositifs peuvent régler les questions de protection de l’intimité. Un exemple : on ne fait plus d’entrées dans les logements pour ne pas perdre de place. Elles peuvent être remplacées par une tringle placée à un mètre de la porte, pour surprendre un rideau, comme dans les brasseries, qui protège des regards des voisins passant sur les coursives. Une porte à double battant peut empêcher les intrusions tout en assurant la ventilation. L’élargissement des coursives et un principe qui peut être repris en France dans le logement social où il n’y a pas à vendre ces surfaces. C’est plus difficile dans la promotion, où l’on ne peut pas équilibrer des surfaces « perdues » dans le bilan.

Mise en maquette du vide comme liant au sein de plusieurs projets de a6a. / Modelling of empty space as a connecting element in several projects by a6a.
Mise en maquette du vide comme liant au sein de plusieurs projets de a6a. / Modelling of empty space as a connecting element in several projects by a6a. / © Rodolphe Escher

Chaque dispositif peut être ajusté, ensemble, pour régler chaque sujet au cas par cas, en discutant avec les occupants.

Un autre espace commun mal vécu par les personnes âgées, ce sont les halls d’entrée. Certains se plaignent d’un flux incessant devant les boîtes aux lettres. On peut imaginer les placer hors du passage, ajouter un banc. Ce dispositif transforme un espace où je n'ai pas envie d'aller en un lieu où je peux retrouver les autres. C'est ainsi que l'on fabrique de la convivialité.

Les beaux lieux, contribution de La Nouvelles Agence consacrée aux halls d'entrée d'immeubles de Caudéran / contribution by La Nouvelles Agence on the entrance halls of buildings in Caudéran, 2013.
Les beaux lieux, contribution de La Nouvelles Agence consacrée aux halls d'entrée d'immeubles de Caudéran / contribution by La Nouvelles Agence on the entrance halls of buildings in Caudéran, 2013. / © E. Maura - arc en rêve

Le jardin potager devint un espace commun. On va faire pousser des légumes ensemble, comme à Oréa10 ou à Locus Solus. « On ne peut pas forcer les gens à aller dans l’en-commun », me disait un monsieur tôt le matin dans le potager installé sur la dalle. À Locus Solus les habitants ont fait le choix d’y accueillir une Maison d’Assistantes Maternelle (MAM). Ce type de désirs nous échappe totalement. Par contre, ce qui ne nous échappe pas, c'est le travail sur la spatialité, sur les échelles d’espace. On peut également accompagner les habitants dans les choix techniques, comme à Locus Solus, toujours. Ces derniers ont fait le choix de n’avoir qu’un ascenseur mais ont réclamé en échange un escalier mieux traité qu’habituellement, mieux éclairé. Nous avons imaginé avec les architectes un escalier avec des ouvertures rondes en béton assez épais, peintes en doré, un clin d’œil à la maison de Rem Koolhaas à Floirac. Il est beau de penser que Locus Solus a des connivences architecturales avec la maison Lemoine. De même que VIM rappelle la maison Dom-Ino de Le Corbusier ou la villa métropole de Jean Prouvé. Dans l’habitat collectif participatif, en locatif ou en accession, les espaces communs induisent des coûts de fonctionnement. La participation doit aussi englober l’entretien qui peut être confié aux collectifs d’habitants constitués en associations et à qui l’on peut attribuer un budget annuel de maintenance pour des parties communes et des équipements techniques dont ils ont assumé le choix. En accession, nous avons imaginé la mise en place d’un syndic solidaire.

Dans le cas de la réhabilitation en sites occupés, on ne peut pas priver les locataires de leur droit à la participation. Ce sont eux qui détiennent la « performance d’habiter » comme l’explique l’architecte Christophe Hutin qui a travaillé à la transformation des immeubles G, H et I du Grand Parc11 et à la réhabilitation de la cité de transit de Beutre12. Pour celle de la cité Claveau13, l’architecte Nicole Concordet s’est elle aussi appuyée sur les compétences des habitants.

Film réalisé par Théo Menivard lors de la transformation de 93 maisons de la cité de Beutre, Mérignac, Christophe Hutin Architecture, 2025.
Film réalisé par Théo Menivard lors de la transformation de 93 maisons de la cité de Beutre, Mérignac, Christophe Hutin Architecture, 2025. / © Christophe Hutin Architecture / © E. Maura - arc en rêve

Le troisième cercle, après être soi et être aux autres que l’on apprend petit à petit à régler spatialement, c’est être au monde. Comment appréhender cette échelle ? À force de rencontrer des spécialistes du numérique dans des colloques, je me suis rendu compte que nous ne pouvions pas nous occuper de cette partie-là. L'être au monde, c'est l’« habitel14 » – tout mon monde rien qu’à moi dans mon téléphone – ce sont les réseaux, les voyages aux quatre coins du monde. Ça n’appartient pas à notre métier.

FL. Comment faites-vous, législativement, pour faire participer des locataires dont le logement n’a pas encore été attribué ?

BB. En droit, on trouve des biais et des ressources. Nous mettons en place des mécanismes de double attribution pour pallier au fait, un an avant, que les situations (composition de la famille, revenus) aient pu changer, ce qui est rarement le cas. Pour la résidence Oréa, nous souhaitions une occupation à 50 % de personnes âgées seules ou très âgées et à 50 % de jeunes ménages. Un bailleur social n’est pas autorisé à imposer ce type de critères, nous avons donc délégué l’ensemble des attributions à la commune.

En France 80 % de la population peut prétendre à du logement social pour autant les loyers sont trop élevés alors que nous appliquons le barème de l’État.

La grande question de société, que nous avons du mal à prendre en compte, c’est d’offrir des logements adaptés et de qualité pour des ménages précaires voire très précaires. Puisque nous nous inscrivons dans l’exposition Nouvelles saisons, autoportraits d’un territoire urbain et périurbain, notre conversation sur le participatif fait l’impasse sur une question cruciale : comment faire pour que les gens n’aient plus à s’éloigner de leur lieu de travail, souvent à plus 60 kilomètres, pour aller se loger considérant que nous avons même dépassé le périurbain pour passer au périmétropolitain ?

FL. Un « périmétropolitain » qui manque souvent de lieux de partage, de rencontre. Si l’on dépasse le rôle de maître d’ouvrage dont nous venons de parler pour parler de celui d’aménageur, qui fait aussi partie de vos expériences, avez-vous une vision urbaine de la question de la convivialité ?

BB. Lorsque l’on est maître d'ouvrage, on réalise des objets dans un périmètre très restreint. En tant qu’aménageur, on intervient dans un espace géographique un peu plus large. Dans les deux cas, la question de la convivialité ne semble pas tout à fait identique, et pourtant que l’on soit dans une opération en hyper centre de 40 logements ou un territoire complet à aménager comme à Bastide-Niel ou à Brazza, c'est exactement la même chose que l'on cherche à faire advenir. Suis capable de générer spatialement les conditions favorables de vie avec l'autre ? Est-ce je reconnais l'autre comme un semblable ? Est-ce que j'accepte de vivre à côté de lui, est-ce que je le supporte ? Est-ce que je m'en méfie ?

La ville de la proximité et de la convivialité a besoin de lieux d’ancrages. L’une des meilleures idées, ce serait de s’appuyer sur les écoles. Il faudrait les ouvrir à toutes et à tous. Elles sont placées à la bonne distance des lieux de résidence pour devenir des lieux d’ancrage des quartiers, tour à tour bibliothèques, salles de réunion, de mariage, des fêtes, etc. Le reste de l’animation du quartier en découlerait. Si un commerçant voit que le samedi, il y a plein de monde dans une école, il va venir s’installer à proximité.

Dans notre société d’hyper consommation, nous n’avons pas besoin de rajouter des lieux de commerces plus proches, ce dont nous avons besoin ce sont des lieux favorisant la rencontre y compris avec l’ensemble du vivant. C’est cela qui nous fait défaut : les liens.

Propos recueillis le 13 octobre 2025.

  1. Cité dans P.-H. Chombart de Lawe, Famille et habitation. Sciences humaines et conceptions de l’habitation, CNRS éditions, 1959 (1ère ed.).
  2. Projet participatif en locatif social, 46 logements sociaux, locaux communs, maison d'assistantes maternelles, salle polyvalente, ferme urbaine à Bordeaux, 2019.
  3. Paru en 1999, réédité en 2012 chez Sens & Tonka.
  4. Sous la direction de Patrick Bouchain, Simone et Lucien Kroll, une architecture habitée, Actes Sud, 2013.
  5. Co-concepteurs avec Christophe Hutin et Frédéric Druot de la réhabilitation des 530 logements sociaux des immeubles G, H et I de la Cité du Grand Parc, Bordeaux, 2013-2017, maîtrise d’ouvrage : Aquitanis.
  6. Voir la tribune « La taille et la qualité des logements doivent être un chantier auquel nous devrons nous atteler » parue dans Le Monde du 24 avril 2020.
  7. Quatorze logements évolutifs, Bordeaux, 2017.
  8. Neuf logements collectifs, Pessac, 2016.
  9. Sous la direction de Laurent Besse, Albane Cogné, Ulirke Kampl et Stéphanie Sauget, Voisiner. Mutations urbaines et construction de la cité du Moyen Âge à nos jours, Presses universitaires François Rabelais, 2018.
  10. Résidence intergénérationnelle de 26 logements, Le Bouscat, éo toutes architectures, 2014.
  11. Op. cit., opération avec Lacaton & Vassal et Frédéric Druot.
  12. Réhabilitation de 93 logements, Mérignac-Beutre, 2025.
  13. Réhabilitation de 245 maisons habitées, Bordeaux, 2025.
  14. Dominique Boullier, Sociologie du numérique, Armand Colin, 2019 (2e édition).

Fanny Léglise

Fanny Léglise est architecte, autrice, curatrice et éditrice. Titulaire d'un doctorat en architecture, elle enseigne dans des écoles d'art, d'architecture d'intérieur et d'architecture.

Locus solus, éo toutes architectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019.
Locus solus, éo toutes architectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019. / © David Pradel
Maquette des éléments de partition du projet VIM. / Model of the partition elements of the VIM project.
Maquette des éléments de partition du projet VIM. / Model of the partition elements of the VIM project. / © Atelier provisoire
Insertion des éléments dans la maquette générale. / Integration of elements into the overall layout.
Insertion des éléments dans la maquette générale. / Integration of elements into the overall layout. / © Atelier provisoire
VIM, 14 logements évolutifs, Atelier provisoire / Aquitanis, Bordeaux, 2017.
VIM, 14 logements évolutifs, Atelier provisoire / Aquitanis, Bordeaux, 2017. / © Agnès Clotis
VIM, 14 logements évolutifs, Atelier provisoire / Aquitanis, Bordeaux, 2017.
VIM, 14 logements évolutifs, Atelier provisoire / Aquitanis, Bordeaux, 2017. / © Agnès Clotis
VIM, 14 logements évolutifs, Atelier provisoire / Aquitanis, Bordeaux, 2017.
VIM, 14 logements évolutifs, Atelier provisoire / Aquitanis, Bordeaux, 2017. / © Agnès Clotis
Locus solus, éo toutes archhitectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019.
Locus solus, éo toutes archhitectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019. / © éo toutes architectures
Locus solus, éo toutes archhitectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019.
Locus solus, éo toutes archhitectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019. / © éo toutes architectures
Locus solus, éo toutes archhitectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019.
Locus solus, éo toutes archhitectures / Aquitanis, Bordeaux, 2019. / © éo toutes architectures
Mise en maquette du vide comme liant au sein de plusieurs projets de a6a. / Modelling of empty space as a connecting element in several projects by a6a.
Mise en maquette du vide comme liant au sein de plusieurs projets de a6a. / Modelling of empty space as a connecting element in several projects by a6a. / © Rodolphe Escher
Les beaux lieux, contribution de La Nouvelles Agence consacrée aux halls d'entrée d'immeubles de Caudéran / contribution by La Nouvelles Agence on the entrance halls of buildings in Caudéran, 2013.
Les beaux lieux, contribution de La Nouvelles Agence consacrée aux halls d'entrée d'immeubles de Caudéran / contribution by La Nouvelles Agence on the entrance halls of buildings in Caudéran, 2013. / © E. Maura - arc en rêve
Film réalisé par Théo Menivard lors de la transformation de 93 maisons de la cité de Beutre, Mérignac, Christophe Hutin Architecture, 2025.
Film réalisé par Théo Menivard lors de la transformation de 93 maisons de la cité de Beutre, Mérignac, Christophe Hutin Architecture, 2025. / © Christophe Hutin Architecture / © E. Maura - arc en rêve